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Au cœur de la RSE

La RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises) est un terme apparu dans les années 1960. Celle-ci prend en compte les enjeux liés au développement durable des activités des entreprises, associations et organisations. Toutes peuvent mettre place une démarche RSE, les étapes à respecter sont facile d’accès. La RSE est l’outil qui guide leur démarche. D’ailleurs, elle suit les principes du développement durable. En d’autres termes, le développement économique de l’entreprise est mis au service du progrès de la société, de ce fait l’environnement est respecté. Portées par des valeurs fortes, les petites et moyennes entreprises s’engagent souvent sans le vouloir dans une démarche de RSE. En construisant une approche, vous pouvez doubler votre impact.

La RSE repose sur trois piliers

Une responsabilité environnementale
Cela rassemble tous les enjeux du développement durable et réduit l’impact des activités sur l’environnement. De nombreuses actions peuvent être menées dans ce sens. Forger des partenariats avec des fournisseurs et sous-traitants respectueux de l’environnement, réduire les déchets de l’entreprise, utiliser les ressources naturelles de manière durable et réduire l’empreinte carbone.
La responsabilité sociale
C’est-à-dire le respect des droits de l’homme et le principe de non-discrimination. C’est le concept qui désigne la responsabilité d’une entité relativement aux conséquences économiques, sociales et environnementales de ses activités
La responsabilité économique
Elle consiste à soutenir activement l’économie locale, notamment par la sélection des fournisseurs et des producteurs, à changer la transparence des étapes de la chaîne de production ou le système de juste prix.
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L’impact environnemental sur Internet

Est-il vraiment possible de diminuer notre impact via les ordinateurs, smartphones ? On peut parfois avoir du mal à se dire qu’une recherche dématérialisée peut avoir un impact environnemental. Et pourtant c’est le cas. D’après des études de Greenpeace, une recherche Google consommerait autant de CO2 qu’une ampoule allumée pendant 2 heures.

Les observations sont claires. Le numérique représente 4 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre. Et ce nombre pourrait doubler d’ici 2025. En France, le secteur numérique représente 2 % des émissions de gaz à effet de serre et pourrait atteindre 7 % d’ici 2040.

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Pour montrer l’impact des Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication (NTIC), on parle d’une pollution numérique. Appelé aussi impact environnemental. Il tente de prendre en compte la consommation d’énergie, l’extraction minière, les coûts de transport… Jusqu’à l’étape de recyclage des produits numériques.

C’est l’un des paradoxes de la numérisation. L’industrie se dématérialise massivement, mais elle a besoin de beaucoup de matériel en finalité.

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Le Slow Content

Il s’agit d’une technique de marketing destinée à ralentir le rythme de création de contenu. En d’autres termes, c’est le fait d’appuyer toute votre concentration sur la qualité plutôt que sur la quantité de contenu.

Le défi n’est pas de créer du contenu pour permettre la présence de votre marque, mais de publier et de mettre en évidence des sujets qui aident à attirer l’attention du consommateur. Avec la baisse des taux d’engagement, la méfiance à l’égard des médias sociaux et l’ajout de pauses publicitaires, les marques doivent renouer avec leur message d’origine. Une démarche qui non seulement se recentre sur un langage plus qualitatif, mais redéfinit également le positionnement éditorial en cohérence avec les valeurs et les engagements qu’ils souhaitent défendre. Un contenu lent ressemble donc plus à un comportement responsable qu’à un nouveau format qu’il faut utiliser activement au risque de perdre toute cohérence.

Le but principal de la création de contenu sur le Web est de partager des informations utiles. Il doit pouvoir répondre à vos besoins ou résoudre vos problèmes. Une approche de contenu lent devrait également tirer parti des valeurs de votre marque et de votre entreprise. La singularité est la marque de fabrique de ce type de contenu, unique et fortement identitaire.

Voici quatre étapes pour vous aider à démarrer :

  • Cibler votre audience : Atteignez votre public et comprenez ses besoins non seulement les besoins physiques, mais aussi les besoins émotionnels qui poussent les gens à acheter.
  • Définir une ligne éditoriale : Construire une bonne stratégie éditoriale nécessite de définir des objectifs et des indicateurs clés de performance. Cela déterminera les sujets abordés, la fréquence et la durée des publications. Il ne faut pas sauter cette étape préliminaire car elle garantit la cohérence de la marque sur le Web.
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Produit-des-contenus-personnalisé-concernant-l'environnement
  • Produire des contenus personnalisés et structurés : Cela nécessite une gestion plus complète, y compris l’esthétique, la documentation et la durabilité. Enfin, en associant le storytelling à un travail qui répond à des problématiques clés, vous pouvez produire régulièrement des textes de qualité optimisés pour un référencement naturel.
  • Recycler du contenu existant : Améliorer le contenu déjà publié est une autre façon d’adopter le contenu lent. Vous pouvez élargir votre perspective et proposer de nouvelles idées. Vous pouvez également envisager de transformer votre article en vidéo ou en podcast. De cette façon, vous lui donnez un nouvel élan et touchez définitivement un nouveau public. Enfin, utilisez l’infographie. Idéal pour les réseaux, il ajoute une touche unique aux articles. Le recyclage de contenu est une excellente solution pour rationaliser vos références tout en ajoutant de la valeur. En termes de temps et d’énergie, c’est un excellent retour sur investissement.

Pour conclure, la responsabilité sociétale des entreprises est un domaine large. Quel que soit l’activité de l’entreprise nous pouvons tous apporter notre pierre à l’édifice. Il y a les gestes que nous avons l’habitude d’effectuer quotidiennement mais sans vraiment le savoir nous pouvons aller plus loin. En effet, la responsabilité environnementale de chacun ne s’arrête pas seulement au tri sélectif, car même au travail nous pouvons prendre de nouvelles habitudes. Par exemple ne pas laisser son ordinateur en veille durant notre pause déjeuner, trier ses mails, encourager un mode de transport plus écologique si possible, penser à utiliser du matériel basse consommation.

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